Décrié pour des valeurs qu’il porte,
En marge d’un monde qui dégénère,
Il regarde la vie couler comme une rivière,
Comment peuvent-ils se comporter de la sorte ?

Sans vagues, il regarde, en silence,
De mal, il en est incapable, il est bon,
Les Hommes le regardent, et l’admirent, en rond
Autour de lui, souffrir sa pénitence.

Pur, il en a l’apparence, car son aura,
Aussi destructrice que la peste, dissémine
Sa corruption. La souffrance de ses victimes,
Douce musique à ses oreilles, est son repas.

Le visage triste, la tête basse,
Il engendre la haine et entretient la colère
Car son univers est infini, tant que serrent
Les Hommes sur leur cœur les germes de ces crevasses

Lafée

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